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Le télétravail n'entraînerait pas une baisse de productivité ni de motivation. Selon une étude récente de Michael Page, il aurait même l'effet inverse, car de nombreux employés qui travaillent à domicile déclarent être plus motivés, plus productifs et plus satisfaits qu'auparavant.
En Suisse, environ 40% des salariés déclarent que leur productivité est restée la même en travaillant à distance et plus de 49,2% pensent qu'elle a même augmenté.
Le travail à distance n'a pas non plus entraîné de baisse de la motivation, bien au contraire: plus de 35,4% des salariés se sont même sentis plus motivés. Près de 49,2% se sentent aussi motivés qu'au bureau.
Les salariés se montrent tout aussi positifs quant à leur niveau de satisfaction envers leur travail: plus de 40% de l'ensemble des salariés étaient tout aussi satisfaits de leur travail qu'avant le confinement, et 38,5% étaient encore plus satisfaits.
Selon les salariés et les demandeurs d'emploi, le télétravail deviendra la nouvelle norme. Plus de 65,2% de la population active souhaiterait avoir la possibilité de travailler à distance à temps plein.
Cela dit, même s'ils avaient le choix, de nombreux salariés viendraient quand même au bureau pendant la plus grande partie de la semaine. Seuls 13,3% d'entre eux choisiraient de travailler à distance pendant 4 jours ou plus. S'ils avaient le choix, la majorité (53,3%) choisirait de faire du télétravail 1 ou 2 jours par semaine.
Près de 72 % des salariés et des demandeurs d'emploi s'attendent à ce que les entreprises soient plus ouvertes aux politiques de travail à distance qu'elles ne l'étaient avant la crise du COVID.
Mais reste à savoir si les entreprises seront à l'écoute de leurs salariés et exauceront leur souhait de plus travailler à distance qu'avant la crise. Si la plupart des entreprises avaient également mis en place des politiques de travail flexibles avant la crise, la règle générale restait tout de même de venir au bureau.
Avant la crise, 61,1 % des salariés ne pouvaient travailler chez eux qu'occasionnellement ou pas du tout. Bien que numériquement assez équilibrée, une minorité (39,1%) des salariés avait la liberté de choisir de faire du télétravail.
En raison du confinement, le nombre de salariés travaillant à distance a augmenté de façon spectaculaire. Sur l'ensemble des sondés, 59% travaillaient à distance. Les seuls qui ne travaillaient pas à domicile étaient les demandeurs d'emploi ou ceux dont le travail ne permettait pas les activités à distance, par exemple en entrepôt ou en magasin.
Pendant un mois, Michael Page a interrogé tous les candidats à un emploi sur notre site web, pour essayer de comprendre l'effet de la récente crise sur leur vie personnelle et professionnelle, le soutien qu'ils ont reçu de la part de leur entreprise et ce qu'ils ont fait pour tirer le meilleur parti de la situation. Pas moins de 210 demandeurs d'emploi en Suisse ont pris part à l'enquête.
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